Un lièvre seul n’est rien, nous sommes un élément d’une communauté très hiérarchisée et chacun trouve sa place.
A ce titre, nous occupons une partie non négligeable de nos journées à nous mesurer les uns aux autres par des bagarres et par des courses-poursuites dans les champs.


Nous sortons majoritairement la nuit pour nous nourrir mais vous pouvez nous observer tôt le matin ou au coucher du soleil.
Evidemment, seuls les dominants pourront se reproduire. Ils auront accès à une meilleure nourriture et au fil du temps, les écarts se creusent.
Mieux nourri, les dominants deviennent plus forts et les autres plus faibles, ainsi va la vie du groupe, ainsi va la sélection naturelle pour renforcer l’espèce tout entière.
Un lièvre seul n’est rien, nous sommes un élément d’une communauté très hiérarchisée et chacun trouve sa place.
A ce titre, nous occupons une partie non négligeable de nos journées à nous mesurer les uns aux autres par des bagarres et par des courses-poursuites dans les champs.


La chasse déséquilibre un ensemble fragile.
Les hommes chassent les renards, alors nous sommes plus nombreux et nous tombons malades donc l’homme chasse les lièvres; je ne comprends pas bien votre logique.
Dans certaines zones comme la Hollande, l’Allemagne ou le Luxembourg, la chasse est très restreinte et l’équilibre se fait de lui-même.
Vous avez certainement vos raisons pour accentuer le déséquilibre, après tout, je ne suis qu’un lièvre parmi tant d’autres…